FAITES VOUS PARTIE DE L'HERITAGE DE YA'AQOV ?

Si vous commencez à répondre par des palabres du genre "je crois en ...", de mettre en avant vos pensées, vos convictions et j'en passe, je crains fort que vous ne passiez à côté de l'essentiel. 

La seule référence qui compte est ce que dit la Torah. 

Quiconque tronque, change, ajoute, retire un seul trait de la Torah met sur lui le malheur (Dvarim 4:2)

Regardons ce qui est écrit en Dvarim (deutéronome) 33 verset 4 : 

"C'est pour nous qu'il dicta une doctrine à Moché, elle restera l'héritage de la communauté de Ya'aqov". 

L'hébreu est bien plus que cela, en regardant de plus près l'on constate que le mot "doctrine", que nombre de traductions erronées traduisent par "loi", est en fait le mot TORAH signifiant INSTRUCTIONS. 

Nul ne peut se targuer d'abolir la Torah, d'en changer ne serait-ce qu'un trait sous peine de voir son nom effacer. D'autre part, le mot "communauté" fait référence au mot hébreu Qehila, faussement traduit par les adeptes des "bâtiments dit églises". 

Le mot "église" vient du grec mais en aucun cas la Torah ne parle d'église telle que les greco-romains l'ont imposé. 

Ce ne sont ni plus ni moins que des "hauts-lieux" de contrefaçons du Temple permis et voulu par YHWH en personne. 

Malheur à ceux et celles qui, en connaissance de cause, continuent à y fouler pieds et adhésions. 

"Sortez du milieu d'elle MON PEUPLE, ne touchez à rien d'impur, afin de ne pas participer à ses péchés et que vous ne receviez une part de ses fléaux" Révélation 18:4

Ainsi nous avons en réalité, par l'organe de Moché, une indication sans faille: L'observance de la Torah est le signe même de l'appartenance à l'héritage de la Qehilah de Ya'acov . 

A ceux qui se fendront d'un "oui mais, on n'est pas juif", je rappelle que l'entièreté du Tanakh (faussement nommé Ancien testament) dit explicitement que les Gentils, les étrangers qui adhèrent à la Torah sont, de fait, possesseurs de l'héritage, et entrent de plein droit dans la communauté de Ya'aqov. 

A ce titre je vous laisse lire ou relire Esaie 56, un bijou de nature à fermer toutes bouches contestataires...sourire !