80 ANS DE LA LIBERATION DE STRASBOURG

Il y a 80 ans, la deuxième division des blindés des alliés faisait son entrée dans ma ville natale, libérant l'Alsace des forces Allemandes. 

Mon histoire personnelle est profondément enracinée dans celle, tristement célèbre, de la deuxième guerre mondiale, et même, elle remonte bien au-delà puisque mes ancêtres ont vécu les différentes étapes du "une fois Allemand, une fois Français, une fois Allemand, une fois Français". 

En 2012 j'alertais, sur mon premier blog, d'un évènement hallucinant, celui de la France donnant symboliquement les clés de l'armée française à l'Allemagne, cela s'est passé à Illkirch-Graffenstaden, ville frontalière française. 12 ans déjà...

J'en ai été, comme nos anciens, horrifiée. Depuis nous avons la fermeture des casernes côté français, des contrôles en binôme franco-allemands... 

Nous savons que le grand Mufti de Yeroushalaïm était l'instigateur de l'opération de la "question juive", grand ami d'Hitler. 

Pourquoi je relève tous ces faits ? 

Parce qu'actuellement, nous avons une des plus grandes mosquées d'Europe qui se construit au centre même de Strasbourg, édifice purement turque.

Parce que Strasbourg est devenue la capitale de l'Europe celle là même qui hait les peuples, les juifs...

Parce que Strasbourg est gouvernée par la gauche écolo, purement antisémite, 

Parce que l'Alsace arrive au bout de ses années fastes, 

Parce que ce mémorial de la libération de Strasbourg il y a 80 ans est souillé par un retour de l'ennemi qui ne se cache même plus. 

Parce que l'histoire des camps d'internements d'Alsace, les malgré-nous,  comment dire...non rien, tant elle cogne à la mémoire de ma propre famille

Une nouvelle génération s'est levée ne connaissant rien, ou presque rien de la véritable histoire, celle qui fait qu'aujourd'hui elle est , encore, libre, avant de vivre bien pire, oui bien pire...

Mon cœur saigne, Ma France , mon Alsace, sont vendues, elles agonisent. 

Je suis en deuil, tous ces morts de l'époque, finalement pour rien, toutes ces souffrances familiales finalement pour rien. 

Ma délivrance viendra quand, d'ici quelques mois, j'aurai posé définitivement les pieds sur le sol d'Eretz, celui qu'Elohim veut pour son peuple.